Sur le continent, Sorken avit entendu parler de l'ïle des Sylphes et des trèsors dont elle regorgeait il espérait trouver là bas un moyen de faire taire les voix incessantes qui murmuraient dans sa tête. Aussi pris t'il la décision d'affréter un bateau pour rejoindre cette île. Il voyagea jusqu'au port la nuit pour ne pas être remarqué. Lorsqu'il il parvint il se mis à la recherche d'un navire et d'un capitaine suffisamment peu scrupuleux pour le prendre à bord. Grâce à sa capacité de reflexion, il remarqua un étrange traffic sur les quais. Il s'approcha donc sa lance d'os attachée dans le dos, certains des marins qui le virent arrivé furent paralysé apr la peur que leur inspirait le mort vivant. Deux autres plus téméraires dégainérent leur sabre d'abordage bien décidé à débarasser le monde de cette abomination. Alors qu'ils approchaient Sorken murmura une formule magique
"Pitta"
puisant l'energie dans l'air pour la tranformer grâce à son pouvoir en quatre boules de flammes pas plus grosses que son poing.Les deux marins eurent un instant d'hésitation, alors Sorken en profita d'un geste il ordonna à deux boules de frapper chacun d'entre eux. Aussitot les vétements de ses derniers s'enflammérent et ils durent se jeter à la mer pour éteindre les flamme qui leur léchait la peau. Lorsqu'il demanda à un des marins où se trouvait le capitaine ce dernier lui répondit en tremblant qu'il se trouvait dans ses quartier à bord du navire. Sorken était maintenant le sujet de toutes les attentions et il n'aimait pas ça du tout. Il se rendit dans les quartiers du capitaine sous le regard apeuré des hommes d'équipage.
"Bonsoir capitaine" dit il de sa voix atone "J'aimerais que vous me conduisiez sur l'île des Sylphes"
"Par tous les dieux !"dit ce dernier en voyant Sorken "Sortez de mon navire je ne veux pas de mort vivant à mon bord"
"Réfléchissez bien capitaine, si j'en ai le désir je peux vous forcer à devenir mon esclave à jamais" dit Sorken en faisant apparaitre une boule de flamme.
"Si vous m'emmenez sur l'île des Sylphes non seulement je vous laisserai la vie sauve mais je vous pairais grassement." continua t'il en révélant une émeraude de la taille d'une bille.
Le capitaine dégluti à la vue de ce joyaux, dernier vestige de la richesse de Sorken, puis il sembla réfléchir à toute vitesse et pris l'émeraude des mains du mort vivant. Ce dernier avait beau lui inspirer la plus saint des horreurs il était riche et semblait intelligent.
"J'accepte ton marché créature, mais au moindre faux pas je te fait balancé par dessus bord. Suis je bien clair ?"
"Parfaitement clair capitaine"
Lors de la traversé Sorken dû se faire violence pour ne pas sombrer dans un de ces accès de rage qu'il avait souvent depis sa mort. Il s'arrachait des lambaux de chairs pour parvenir à calmer ses voix intérieures. Au bout d'une semaine le navire accosta enfin et l'équipage fut bien content de voir le mort vivant quitter le bord sans qu'aucun d'entre eux n'ai péri.