un changement étrange...

Nombre de messages : 24 Age : 31 Race : Goule Date d'inscription : 06/08/2007

Tenebrus se remis sur un mur en attendant une futur proie, il attendait, longtemps, très longtemps, il avait de plus en plus faim mais bizzarement toujours pas autant que d'habitude, mais il avait faim, une mère avec un lendeau s'engoufra dans la rue, visiblement elle voulait nourrir le petit,mais Tenebrus allait les avaler tout rond et aller chercher d'autres proies, il descendit du mur et bloqua le passage, le bébé pleurait et la mère s'affolait

-Je vais...vous manger!!

Tenebrus ne fit pas attention à que la phrase qu'il vient de prononcer était COMPLETE, il s'approcha de la mère et commença par la devorer comme à son habitude,et il englouti le bébé comme un amuse gueule, il était sur le point de partir à la recherche d'une autre victime mais la...il n'avait plus faim, visiblement,il s'était passé quelque chose durant son hibernation...

Edit Akara : j'ai édité ton titre... il me semble que tu parlais d'un changement... parce que perso, je connais pas le chagement... bon retour parmi nous Wink

Je saute de toits en toits. J'entends encore les gens crier depuis la place, mais moins fort que tout à l'heure. Ils ont dû se disperser. Avisant une rue suffisamment perdue au milieu de nul part, je descend de mon toit. J'atterris légèrement sur le sol, soulagé d'avoir échappé aux colons.

Le repos n'est pas long. Tout d'abord, l'odeur. L'odeur de chair chaude me saisit le nez violemment et me donne l'envie de vomir le peu que j'ai avalé aujourd'hui.
Il y a du sang partout et, au milieu de ce carnage, une chose monstrueuse.

La peau grisâtre et flasque, des dents comme des dagues et des griffes longues comme mon avant-bras. Couverte de sang, le regard reflétant l'enfer. Je comprend que les vacances ne sont pas pour tout de suite. Reculant précipitamment de quelques pas, je dégaine ma lame et attend l'assaut.

-Par tous les dieux, esprits, et choses sacrées de ce monde. Je jure que si je survis, plus jamais je ne mettrais en cause leur existence.

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Tenebrus fut surpris de voir cette personne arriver,il l'aurait bien manger mais il n'avait plus faim!Or,pour une goule c'est plutot étrange!!

-ARRETTE!!JE..TE...VEUX PAS DE MAL!j'ai plus faim...???

*mais...je parle correctement...

Tenebrus était désorienter, il ne savait pls si il rêvait et était toujours en hibernation ou si c'était belle et bien la réalité...aucun goule ne peut parler ocmme il le fait...

Pas de mal? Cette... Chose est "debout" au milieu d'un carnage et me dit qu'elle ne veut pas me faire de mal? J'ai du prendre un coup sur la tête. Restons méfiant, on sait jamais avec ce genre de chose. Et si... Et si c'était ça qui avait tué les gens dans la forêt et qui avait mis les colons en colère? Si je le leur raporte, la paix est assurée... Et je pourrais chercher mon trésor tranquille. Ok, je tente le coup.

-Tu as tué ces gens, lui dis-je en pointant du doigt les flaques de sang. Ce n'est pas bien et tu comprends que je dois les venger.

C'est un pari risqué, mais il faut tenté le coup.

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Tenebrus craignait que ce personnage s'énerve et ne l'attaque,mais il esseyait quand même de se défendre

-heu...mais je...faut que je mange...pas habitué à parler comme ça...heu...il fallait que je me nourrisse, toi, tu mange bien des animaux, ben moi je mange des humain...la chaîne alimentaire

Tenebrus doutais que ces parole l'amadouerait,au contraire,c'est pour cela qu'il se mit sur ses garde, près à se défendre...

J'avance vers la bête, un pas après l'autre. Doucement, calmement. Les voix de mes poursuivants retentissent. Je range ma dague et regarde où est-ce que je pourrais me caché mais aucunes solutions ne s'ouvre à moi. Alors j'avise.

Fonçant sur la créature, je l'attrape par la taille et déboules dans la grande rue, l'enlaçant carrément et grimaçant de dégoût. Les gens, effrayés, s'écartent en me voyant et hurlent. Les bruits me désorientent mais je continue de courir, droit devant moi.

Au bout d'une longue course, je passe devant un groupe de vigies, armées et considérablement étonnées, et sort en trombe de la ville, tenant toujours la chose dans mes bras. Je ne m'arrête que quand j'entends le bruit des vagues. Je lâche le monstre et recule rapidement. On ne sait jamais ce qu'il peut faire. J'observe le terrain.

Nous sommes sur une plage qui borde la plaine. On aperçoit la rivière qui quitte la Croisia, traverse les bois d'Eldowee et rejoint la mer ici. Des récifs immenses forment une barrière au large et les vagues chantent. Non, vous avez bien entendu, elles chantent. Dans le bruissement qu'elles font en se brisant sur le sable, il y a comme les paroles d'une chanson, antique et puissante. Mais je ne dois pas me laisser distraire. Je replace mon attention sur la bête...

[Suite sur la Roche au Nymphes.]