Vagabondage

Je me promène à présent sur le marché. La foule est si dense et les gens si peu attentifs... Je me promène donc, découpant au poinçon dans les bourses des gens, et prenant leur argent. C'est si drôle de les voire s'affoler lorsqu'ils remarquent enfin qu'ils n'ont plus rien dans leurs poches... J'ai le cœur léger. Ma rencontre avec "l'Êl o Gwaew" a été comme un ressourcement.
Mais mes moeurs restent inchangées.
Bien entendu, voler ne m'aidera pas à trouver ce que je suis venu chercher... Qui pourrait bien me renseigner? Personne bien entendu... Les seuls qui pourraient, sont beaucoup trop sains d'esprit pour croire à cette "prophétie" stupide. Que faire?

Au bout du marché, j'aperçois le port. Un bateau vient d'arrimer et des passager en descendent. Je pourrais bien trouver un ou deux pigeons qui écouteront mes histoires... Je m'approche donc, retire ma capuche, et sortant mon luth, je me met à jouer une doucereuse mélodie. Ma voix de nouveau s'élève, claire et grave. Je chante cette fois encore en elfique. On me comprendra moins bien qu'en commun, mais le chant prend une dimension différente en elfique. Les gens s'arrêtent.
De nouveau, seul quelqu'un parlant la langue peut vraiment comprendre les paroles, mais le chant fait naître dans l'esprit des gens tous les sentiments que les paroles veulent faire passé. Les gens commencent déjà à déposer des pièces à mes pieds.

Turgon habillé en noir passait par la....il avait enfin put se débarasser de ce bâteau et il avait fini son voyage...cela lui plaisait beaucoup....quand il entendit un chant en elfique...il se demandais bien qui pouvait chanter en elfique....il vit beaucoup de monde autour aussi...il tentas de se frayer un chemin parmis tout ce monde....il approchas un humain....une femme bien entendu...et il dit a basse voix en la rendant plus grave qu'a la normale

"il est la depuis combien de temps celui-la?"

la femme assez jeune le regardas et sourias en renpondant de sa douce voix

"ca ne fait pas lomtemps qu'il est la....mais il gagne beaucoup d'argent"

*pffff.....un voleur sans doute...bon peut-être qu'il sait se battre....ca peut être amusant qui sait?....*

Turgon se faisait remarquer plus que les autres a cause de son habits noir....mais on ne pouvais pas savoir si c'était un elfe....quand quelqu'un lui prit l'épaule et le poussa en arrière...c'était un humain masculin a première vue....il était en colère serrant son poing devant le visage du jeune elfe....lentement les personnes détournèrent leur regards sur le futur combat d'après eux...

"sale elfe! REND MOI MA BOURSE!"

*....l'autre elfe a sûrment dut lui voler son fric et il me prends pour un voleur maintenant génial...*

certaines personnes commencais déjà a crié pour avior un combat ssanglant...les elfes n'aimait pas trop les humain moyen de la ville...Turgon venait de comprendre pourquoi....mais il gardait son calme devant la menace de l'homme

restons calme...soyons un peu civilisé...réglons ca en discutant

l'homme ne bougeas pas et donnas un coup de poing a Turgon dans le ventre

*je vais voir comment réagis l'autre....*

Et voilà... Une bagarre. Manquait plus que ça. Heureusement que cet idiot m'a confondu avec cet étrange personnage. Je ramasse mon argent, le fourre dans ma besace et m'interpose. Cela me permettra de m'accorder la bonne grâce de ces gens. Et comme tout le monde le sait, une personne est plus facile à détrousser lorsqu'elle vous fait confiance.

-Voyons messieurs. Cela ne sert à rien de se battre.

Je me tourne vers l'homme et lui jette un regard un peu sévère.

-Cet personne n'a visiblement pas votre or, noble seigneur. Je vous demanderais donc de ne pas déranger ces gentils hommes et belles dames qui sont venu écouter le spectacle.

Évidemment, l'être humain est par nature belliqueux. Et j'ai tendance à l'oublier. L'homme envoie son poing dans mon ventre avec une telle force que je fut projeter contre le personnage encapuchonné. Mais je ne me contrôlais déjà plus. Me relevant difficilement, le souffle coupé. Mon poinçon glisse de ma manche, je l'attrape. Et je fais une grande estafilade sur la joue de mon adversaire. Les lèvres retroussées sur mes dents, comme un loup. Les yeux brillant d'une lueur fauve. Effrayé par mon visage, l'homme s'enfuit en courant.

La foule, trop occupée à se moquer du malheureux, ne remarqua pas mon attitude menaçante. J'eus, heureusement, le temps de vite me reprendre. Souriant à la foule, je récupère rapidement mes affaires.

-Désolé mesdames et messieurs, il est temps pour moi de vous quittez. Guettez moi! Je puis être n'importe où et si vous avez envie d'entendre une histoire d'autre fois, il suffit de me trouver!

C'est ainsi que je quitte l'assemblée. D'un grand pas. Ramassant furtivement les bourses et embrassant courtoisement la main des dames.

après ce petit combat le jeune elfe suivit l'autre elfe se mettant a côté de lui pour lui parler en traversant la foule...

"salut elfe....je te remercie pour l'aide que tu m'as protigué"

Turgon parlait normalement...comme si le voleur comme il le pensait était un ami de longue date...et il sourit a cet étrange personne a côté de lui...l'autre elfe en avait sûrement rien a faire de Turgon...mais il essayas quand même

"je me nomme Turgon et toi quel est ton nom?"

Après quelques minutes de marche, je daigne enfin lui répondre.

-Appelle moi Corbeau, lui dis-je. Tu sais, c'est dangereux de voler quand on a pas l'habitude. Tu aurais pu te faire tuer par cet homme.

En lui parlant, j'attrape une pomme sur un étalage ou une bourse à une ceinture. Au bout d'un long silence, je m'arrête, j'arrache la capuche de l'étranger, et le dévisage, plissant les yeux à cause de la lumière du soleil que je supporte mal. C'est un elfe. Il me dépasse d'une bonne tête, et son teint blafard ainsi que ces cheveux or prouvent son appartenance à la race des hauts-elfes.

*Alors voilà quelque chose qui mérite de s'y attarder...*

-Ainsi tu es un elfe, lui dis-je. Je m'y attendais. Il pourrait... Nan. Je ne peux pas le mêler à ça...

Bien entendu, c'était un haut-elfe. Il n'aimera pas être mis de côté. Il va vouloir savoir de quoi je parle et il va accepter dès que je lui aurai fait la proposition... Maintenant, j'avance à nouveau, faisant de grandes enjambées. Une antique prophétie parlait d'un trésor sans limite. Mais il faut payer le prix fort... Une vie. Bien entendu, je n'irais pas me tuer comme un idiot. Mais je pourrai l'envoyer... Ce serait montrer une grande méchanceté, ce qui n'est pas mon genre. De toute façon, il me faut d'abord trouver l'emplacement du trésor. Et puis, la prophétie est sûrement fausse. On ne peut prédire le futur exactement.

l'elfe a coté de lui avait de l'expérience pour voler les objets. Mais Turgon lui n'avait rien volé.C'était peut-être cet elfe, qui sait?

*il est étrange.*

quand Le corbeau lui arrachas sa capuche, Turgon ne fit rien. Il continuait de marcher, Le corbeau avait parlé de quelque chose.le jeune elfe s'en fichais, mais comme son "ami" hésitait a lui dire il allait l'aider un peu

de quoi parle tu?

-Non, oublie ça, lui dis-je.

C'est vrais. Je ne dois pas m'encombrer de lui maintenant. En même temps... Il en a trop vu. Il risque de me balancer au services de sécurité de la ville. Que faire, que faire? Je ne peux pas le tuer, mais je ne peux pas me permettre de le garder avec moi. Je sais...

-Ça te dit un p'tit verre?

Je m'approche d'un vendeur de bière qui avait percé son tonneau dans la rue.

Deux chopes, marchand! dis-je au brasseur.

Il me donne donc deux pintes. Voyant que mon "compagnon" est encore de l'autre côté de la rue, j'en profite pour verser un somnifère dans l'une d'elles. Me retournant, je m'approche de lui, et la lui tend.

-Bois, lui dis-je.

Il attrape le verre d'un air méfiant. Pour lui montrer qu'il n'a pas à avoir peur, je bois la mienne en trois longues rasades. Rassuré, il expédie la sienne aussi tôt. Je lui souris.

-Bonne nuit, chuchotai-je.

Il tombe à présent dans les pommes. Il se réveillera dans une heure avec un petit mal de crâne. Moi, je quitte le marché pour une direction inconnue.